Ces sept premiers mois pourraient suffire à définir 2022 comme “l’année la plus chaude de tous les temps”. Au moins à partir de 1800, lorsque les mesures de température ont commencé.
Le chiffre ressort de la publication du rapport de l’Institut des sciences de l’atmosphère et du climat du Conseil national de la recherche (Isac-Cnr), relayé par le site spécialisé metropolitano.it, le 5 août.
Rien qu’en juin, la température moyenne enregistrée était supérieure de 2,88 degrés à celle de 2003, considérée jusqu’ici comme un record, tandis qu’en juillet, elle était supérieure de 2,26 degrés à celle de la même année de référence.
Dans l’ensemble, jusqu’à présent, au cours des 7 premiers mois de l’année, il y a eu +0,98 degrés de plus que la moyenne.
“Si 2022 se terminait maintenant, ce serait l’année la plus chaude de tous les temps”, a commenté Michèle Brunetti de l’Isac-Cnr.