Anas Hamaidi, président de l’Association des magistrats tunisiens, a critiqué la nouvelle Constitution qui menace l’indépendance de la justice.
Il dénonce la séparation présentée par le projet de Constitution au pouvoir judiciaire la considérant comme une fragmentation en échange d’une forte présence du pouvoir exécutif, dont les plus importants sont les mécanismes de nomination des juges.