Le Parti destourien libre (PDL) a condamné, samedi, dans une déclaration, “l’atteinte à son droit à la réunion garantie par la loi”, après avoir été interdit par les autorités régionales de Siliana de se réunir dans le cadre du programme de travail de l’école de formation des cadres partisans.
Le PDL a dénoncé “la violation de l’engagement de l’Etat à ne pas entraver le travail du parti”, appelant le gouvernement à “poursuivre les auteurs de ces graves dépassements et enquêter sur ces méthodes tordues”.
Le parti destourien a également mis en garde le chef de l’Etat contre “l’adoption de telles pratiques répressives ainsi que des attaques répétées à l’encontre du parti de l’opposition”.
Il a souligné son refus catégorique à ces pratiques et sa détermination à empêcher le passage de la nouvelle constitution qu’il a qualifiée de “deuxième version du système du printemps du chaos”.