Dans un communiqué transmis le 12 juillet à Corse Matin, le FLNC (Front de libération nationale Corse) a revendiqué 16 “actions” contre des résidences secondaires, des entreprises du bâtiment et des véhicules policiers.
“Ce qui tue le peuple corse, c’est la France, le système économique mondial et une partie de notre peuple qui s’en fait complice”, accuse dans ce document le mouvement indépendantiste clandestin.
Le parquet national antiterroriste (Pnat) s’est saisi immédiatement de l’affaire du communiqué du FLNC.
A noter que le FLNC a officiellement déposé les armes en 2014, au terme de quatre décennies de lutte armée marquées par plus de 4 500 attentats.