Monkeypox continue de se propager, et l’hypothèse du vaccin revient avec insistance. L’agence de santé britannique a recommandé la vaccination contre le monkeypox des personnes homosexuelles considérées comme “à risque”, par exemple celles qui ont plusieurs partenaires, un public particulièrement touché par la propagation récente de la maladie.
“Bien que n’importe qui puisse contracter la variole du singe, les données actuelles montrent des niveaux de transmission plus élevés entre (mais sans s’y limiter) les réseaux sexuels d’hommes homosexuels, bisexuels et autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes”, déclare l’agence de santé publique du Royaume-Uni (Ukhsa) dans un communiqué de presse publié le 21 juin.