Les unités sécuritaires du district du Lac ont reçu des informations selon lesquelles une patiente, recevant des soins dans une clinique privée, a été victime d’un viol. Son agresseur n’est autre qu’un infirmier travaillant dans l’établissement sanitaire.
La brigade chargée de lutter contre les violences faites aux femmes a ouvert une enquête.
En coordonnant avec le représentant du ministère public, les unités sécuritaires se sont rendues à la clinique, qui se trouve au Lac, pour prendre la déposition de la plaignante.
Elle déclare que l’infirmier l’a violé à deux reprises dans la nuit du 11 au 12 juin à une heure tardive de la nuit. Elle détaille les faits en expliquant aux policiers la manière avec laquelle l’infirmier a procédé pour la violer.
L’enquête a révélé l’identité de l’agresseur qui a nié toutes les accusations.
La victime du viol souffre de troubles mentaux postopératoires, ajoutant qu’elle souffre également d’une maladie infectieuse bactérienne transmise par le sang, le contact sexuel ou par la salive. Elle a été placée en quarantaine pour prévenir la transmission.
En approfondissant l’enquête avec le médecin chargé du suivi de la patiente, il a confirmé que tout ce que l’agresseur avait déclaré était faux.