Le sélectionneur national Jalel Kadri a affirmé que le match face à la Guinée Equatoriale, prévu jeudi à Radès (20h00) intervient dans des circonstances difficiles.
Le coach national qui s’exprimait lors d’un point de presse, tenu à la salle des conférences du stade Hammadi Agrebi de Radès, a indiqué que le onze national ourvrira demain une nouvelle page après la qualification au Mondial-2022, où il doit relever plusieurs défis notamment sur le plan physique après un marathon de 26 matches disputés en une année.
“Le match intervient également juste après la fin des championnats locaux ce qui a empêché les joueurs de profiter des périodes de repos nécessaires”, a-t-il ajouté, tout en mettant l’accent sur l’importance du travail mental dans ce genre de situation.
“Nous n’avons pas droit à l’erreur”, a averti le sélectionneur national, qui a appelé ses joueurs à faire preuve de concentration lors des deux prochains matches de qualification face à la Guinée Equatoriale et le Botswana, les 2 et 5 juin, avant d’aller disputer le tournoi Kirin Cup au Japon.
Concernant la liste des joueurs retenus, Kadri a précisé qu’il a préféré ne pas convoquer les joueurs en phase de négociations ou de transfert ou ayant des problèmes avec leurs clubs ce qui pourra les déstabiliser et perturber leur concentration.
Il a cité à ce propos le cas de Wahbi El Khazri qui souffre de quelques problèmes de santé et d’autres problèmes, qui ont été à l’origine de sa non convocation malgré son niveau technique et sa valeur au sein de l’équipe.
Concernant le choix de Dahmène et Ben Said dans les bois, Kadri a affirmé qu’il avait opté pour la continuité tout en offrant l’occasion aux gardiens qui se sont distingués dernièrement à l’image de Damerji et Sedki Dabchi et tout en étant convaincu que Ammar Jemal et Moez Hassan restent des valeurs sûres au sein du onze national.