Union générale tunisienne du travail (UGTT) a fermement condamné l’assassinat de la journaliste à la chaîne Al-Jazeera Shireene Abu Akleh , hier mercredi, par ” l’entité sioniste”, soulignant qu’il s’agit d’un crime “qui prouve encore une fois la nature terroriste de l’entité occupante et dévoile la vérité et l’essence de la pensée sioniste hostile à la vérité, à la liberté et à l’humanité”.
Dans un communiqué publié jeudi, l’UGTT a indiqué que le ” sniping de la martyre ” n’est qu’un maillon dans la chaîne des actes terroristes de l’entité sioniste, qui a adopté l’exécution systématique de tout ce qui a trait aux palestiniens : l’homme, la terre et l’identité, et qui tente de faire taire toute voix qui expose sa nature d’entité usurpatrice en d’empêchant les médias de transmettre ces faits au monde entier.
La centrale syndicale a dénoncé le silence des dirigeants arabes, en particulier les ” normalisateurs avec l’entité occupante face à ce crime odieux “, du fait que certains médias continuent de pratiquer des formes de normalisation médiatique avec ce terrorisme et son entité usurpatrice”, selon le communiqué.
Elle a également condamné le silence de la communauté internationale, soulignant que le crime révèle la “fausseté de la démocratie impérialiste sauvage”, et ses tentatives, dans la plupart des cas, “d’essayer de contenir la laideur du visage criminel de l’ennemi”.
L’Union générale tunisienne du travail a appelé à une campagne internationale, en particulier parmi les peuples du monde libre, pour faire pression et “exposer les sionistes, les isoler au niveau international, et les tenir responsables des crimes perpetrés contre l’humanité”, lit-on de même source.