Dans un communiqué publié jeudi 14 avril 2022, le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a appelé à la libération immédiate de la journaliste Chahrazed Akacha qui vient d’être placée en garde à vue.
Chahrazed Akacha est soupçonnée par le procureur de la République près le Tribunal de première instance de l’Ariana d’avoir “nuit aux tiers ou perturbé leur quiétude à travers les réseaux publics des télécommunications”, en vertu de l’article 86 du code des télécommunications.
Le syndicat considère que l’arrestation de ladite journaliste est une régression en matière de liberté d’expression et de presse en Tunisie.