La COFACE note que “bien que la part de la dette en devises étrangères soit élevée (56% en euros), environ 70% de celle-ci est détenue par des créanciers multilatéraux et bilatéraux. En outre, le ratio d’endettement sera vulnérable à la dépréciation de la monnaie. La dette extérieure (plus de 90% du PIB) devrait rester élevée, et la plus grande partie de la dette (80%) continuera d’être une dette publique ou garantie par l’État.
Le dinar est resté stable ces dernières années, mais l’incapacité à honorer ses obligations de remboursement pourrait déclencher une fuite des capitaux et une crise monétaire”.