Durant des semaines, des élèves en Tunisie ont été visées par des attaques aux seringues par des inconnus.
Ce phénomène se répète en France. Une femme qui se trouve à la rue Saint-Michel à Rennes lors d’une soirée festive a été la cible d’une attaque à la seringue.
Dans un message publié sur les réseaux sociaux, une étudiante affirme avoir été victime d’une agression à la seringue. Un phénomène assez inquiétant.
Les faits remontent au jeudi 17 février. Cette version a été corréler avec d’autres témoignages, où des personnes aurait été droguées au GHB, connu sous le nom de la drogue du violeur.
Dans son texte, l’étudiante affirme avoir eu de la chance parce que son agresseur l’a loupé. Son médecin a confirmé qu’elle avait la trace d’une seringue et doit avoir un suivi pour savoir si elle n’a pas attrapé une maladie à cause de la piqûre.
Un mouvement a été lancé sur les réseaux sociaux avec un hashtag #Balance_ton_bar_Rennes. Ce mouvement a permis à plusieurs victimes de s’exprimer. Certaines expliquent avoir ressenti les effets du GHB après avoir bu un verre en bar alors que d’autres affirment avoir des traces bleues et n’ont pas d’effets parce que leurs agresseurs ne réussissent pas à les droguer.