Le #cancer du #sein est le plus fréquent des cancers diagnostiqués chez les femmes au #Grand Maghreb, comme dans le monde, et constitue la cause la plus fréquente de décès par cancer.
Dans le monde, plus de 1,4 million de femmes sont touchées, chaque année, par le cancer du sein, tandis que le nombre des décès s’élève, annuellement, à 458 000 décès.
En #Tunisie, le cancer du sein représente 1,24% du nombre total de décès (0,95% à 1,58%), alors qu’il représente 0,58% du nombre total de décès au #Moyen-Orient et en Afrique du Nord (0,91% à 1,08%) (healthdata.org IHME).
Trois mille trois cents (3 300) nouveaux cas de cancer du sein ont été enregistrés en Tunisie en 2019 (source le ministre de la Santé). Ce type de cancer, le plus fréquent chez la femme, représente 30% de l’ensemble des cancers diagnostiqués.
L’#Afrique connaît l’un des plus forts taux de mortalité par cancer du sein. Il est souvent détecté à un stade trop avancé. Les femmes qui meurent de cette maladie sont de plus en plus jeunes et se rendent à l’hôpital à un stade trop avancé (source OMS).
En #France, une femme sur huit y est confrontée et 11 900 décès sont recensés chaque année (source site #Numerama).
Alors qu’il existe aujourd’hui des solutions qui font mieux le dépistage de ce cancer que les médecins. C’est l’intelligence artificielle.
Aux #USA, #Google, le géant de l’informatique, est capable de détecter un cancer du sein avec une précision de 99%. Entraînée à repérer les cancers à un stade avancé, #Lyna (Lymph Node Assistant) est plus précise et plus efficace que les médecins.
Plus la maladie est détectée rapidement, plus elle a de chance d’être soignée.
Alors, Etat, centres d’oncologie (public/privé), médecins, informaticiens et Start-ups « qu’attendons-nous » pour développer des IA spécifiques à nous et sauver la vie de nos mères, nos femmes et nos filles…
Imed HANANA