Le président du parti Afek Tounes, Fadhel Abdelkefi a estimé lors d’une conférence de presse du parti qu'”il est étrange de recourir à l’application de la loi n°50 de 1978 relative à l’état d’urgence”.
En commentant la décision de placer le leader du mouvement Ennahdha, Noureddine Bhiri, en résidence surveillée, « personne n’est au-dessus de la loi, quels que soient son nom, sa valeur politique, sociale, et fonctionnelle, celui qui a commis une erreur doit être responsable” a déclaré Abdelkefi.