
L’association a précisé dans un communiqué, que ce jugement par contumace a été rendu sur fond d’une plainte pénale déposée par l’ancien ministre des Sports Tarik Dhiab en 2012 suite à une déclaration médiatique faite par Bouchra Belhaj Hamida l’accusant de corruption.
Elle a souligné que le jugement émis dans cette affaire qui remonte à 2012 et le non respect des délais de prescription, reflète une tentative “d’instrumentalisation de la justice en Tunisie” afin de poursuivre en justice Bochra Belhaj Hmida selon l’ATFD, notant que cette tentative sera vouée à l’échec.
L’ATFD a dénoncé “les campagnes de jugements par contumace” émis à l’encontre des militants des droits de l’homme”, estimant que ces pratiques visent à museler la liberté de parole et l’atteinte à la liberté d’expression en consécration d’une politique de deux poids et deux mesures pour des fins de règlement de comptes politiques.




