Amnesty International a critiqué la nouvelle mesure concernant l’obligation de présenter un pass vaccinal pour accéder dans les établissements publics, considérant cela comme une violation des droits des Tunisiens.
L’organisation estime que le décret présidentiel viole les droits des citoyens et réclame aux autorités tunisiennes d’annuler cette mesure.
Amna Guellali, directrice régionale adjointe d’Amnesty International pour le MENA explique que les autorités tunisiennes doivent seulement appliquer et introduire des mesures pour protéger la santé publique.
Mais Mme Guellali, est-ce que votre organisation adresse les mêmes critiques aux autres pays qui ont instauré des mesures souvent et nettement plus sévères ?