
D’une manière générale, les coéquipiers de Bilel Laifa restent sur une note positif en général, en ayant passé le cap des demi-finales et en prétendant au sacre en disputant la finale.
Outre la belle prestation livrée par les aigles tout au long de la compétition, le rendement qui est allé crescendo en terme de qualité et les dix millions de dinars qu’a touché la Fédération tunisienne de football, la coupe arabe a été l’occasion de découvrir certains éléments qui feront certes l’avenir de la sélection.
On citera, entre autre, le jeune milieu de terrain des “red devils” qui à 18 ans à peine a su retenir l’attention et faire parler de lui comme futur meneur de jeu de l’équipe de Tunisie.
Autre belle surprise, la découverte de deux ailiers modernes dignes de ce nom; Mohamed Drager à droite et Mohamed Amine Ben Hmida à gauche, tous deux actifs tant au niveau de la récupération qu’à celui de la construction offensive.
Il va, par ailleurs, sans dire qu’une évaluation technico-tactique de la participation tunisienne à la coupe arabe est requise pour diagnostiquer les lacunes et amorcer des réformes.
Toutefois, c’est un fait, au même titre que la coupe arabe faisait guise de bonne répétition pour le mondial prévu dans moins d’un an, la participation tunisienne a permis de déterminer les faiblesses à pallier en prévision des prochaines échéances importantes.




