Dans le cadre de ses activités culturelles et en consécration de la réunion entre les étudiants et les créateurs et intellectuels, la Fondation de la Maison de Tunisie à Paris a récemment abrité une rencontre sur le thème « Le dialecte peut-il être un support de littérature ? ».
Cette rencontre a réuni l’écrivaine tunisienne Faten Fazaa et l’avocate-chroniqueuse Maya Ksouri – qui a été la modératrice du débat sur la langue maternelle parlée et son rôle comme support de littérature.
Faten Fazaa s’est félicitée de l’opportunité qui lui est offerte d’être présente à une rencontre qu’elle a qualifiée de privilégiée avec les étudiants tunisiens à Paris qui ont échangé avec elle des idées et des opinions sur les questions qu’elle pose dans ses ouvrages et sur son usage du dialecte dans ses écrits.
Dirigée de main de maître par Tahar Battikh, la Maison de Tunisie à Paris a connu au cours des dernières années une intense animation aux niveaux social et culturel, nous dit-on.
Dans ce cadre, les responsables de l’institution semblent avoir ainsi bien géré la crise de la Covid-19 qui a eu des effets négatifs sur les résidents de la Maison, de même qu’ils ont organisé des rencontres culturelles et artistiques qui ont introduit de la vitalité chez les étudiants.