Des sources syndicales citées par Mosaïque FM, mercredi 13 octobre 2021, ont révélé la vérité sur ce qui a circulé récemment sur le nouveau ministre des Affaires sociales, Malek Zahi, nommé par la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, lundi 11 octobre.
Malek Zahi n’a rien à voir avec le groupe terroriste de Soliman, qui a utilisé des armes contre l’État tunisien fin 2006 et début 2007.
Malek Zahi a certes été arrêté alors qu’il était étudiant et militant de l’Union générale des étudiants tunisiens (UGET) et proche du Parti démocratique progressiste (PDP) pendant les affrontements armés avec le Groupe Soliman.
Les mêmes sources ont expliqué que son arrestation n’a pas duré longtemps. Elle aurait été causée par le refus de son père, Mohamed Moncef Zahi, secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail, de recevoir un ordre de mérite du président Zine El Abidine Ben Ali.
Plusieurs citoyens avaient été arrêtés à cette occasion dans le cadre de l’enquête sur l’affaire de Soliman. La politique de Ben Ali avait utilisé l’incident pour harceler les opposants, indique Mosaïque FM.