La haute commissaire de l’ONU aux droits de l’homme affirme que les frappes israéliennes dans la bande de Gaza pourraient constituer un dossier de crimes de guerre.
Selon l’ONU, aucune preuve n’a été présentée affirmant que les bâtiments qui ont été la cible de ces frappes n’aient été utilisés à des fins militaires.
«S’il s’avère que l’impact sur les civils et les objets civils est indiscriminé et disproportionné, cette attaque peut constituer un crime de guerre», a déclaré Michelle Bachelet à l’ouverture d’une réunion extraordinaire du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.