Le porte-parole du syndicat, Sami Tahri, a déclaré au journal Almaghreb, samedi 6 février, que le syndicat avait tenté de jouer un rôle de médiateur dans la question du remaniement ministériel avant de le soumettre au Parlement. Il avait demandé d’attendre et de ne pas se précipiter, malheureusement il n’a pas été écouté.
Aujourd’hui, il n’a pas tout envie d’entreprendre une nouvelle médiation concernant ce dossier.
Tahri a ajouté que ceux qui ont provoqué cette crise doivent en chercher une solution, soulignant que le chef du gouvernement a deux options, soit abandonner les ministres ou démissionner.