Le président de la commission parlementaire de la réforme administrative, de la gouvernance et de la lutte contre la corruption Badreddine Gamoudi a souligné la nécessité de la volonté politique du chef du gouvernement et du gouvernement en général de lutter contre la corruption en raison du grand impact de cette volonté de motiver les différents organismes concernés à lutter contre la corruption à jouer le rôle qui leur est confié dans le cadre de la confiance et de la coopération pour l’éradiquer et la réduire en Tunisie, considérant que la corruption a frappé l’économie tunisienne et l’a gravement endommagée.
« La Tunisie dispose d’un arsenal important de lois pour réduire, combattre et éradiquer la corruption, et les gouvernements successifs, avant et après la révolution, ont soulevé le slogan de la lutte contre la corruption sans passer par son application, et dans le meilleur des cas, le gouvernement cible sélectivement certains éléments qui posent un certain danger, mais il travaille à blanchir tous ceux qui se tient derrière cette corruption.
Il a déclaré que beaucoup de personnes corrompues avaient été blanchies et qu’on leur avait donné la légitimité à travers leur retour à l’activité politique et économique après la révolution.