Lors d’une conférence de presse tenue au Parlement, vendredi 26 juin 2020, Abir Moussa a critiqué « la présence d’assistants des blocs parlementaires payés par une organisation américaine comme l’Institut national démocratique, qu’elle a décrit comme proche de l’organisation du Printemps arabe.
Moussi juge la question comme dangereuse parce que ces assistants écrivent des rapports à des entités étrangères, ce qui affecte la souveraineté du Parlement et par ricochet la souveraineté nationale.
Elle souligne également que ces organisations sont impliquées dans les projets de loi par l’intermédiaire de leurs experts, s’interrogeant sur le résultat des rapports que ces assistants rédigent.
Abir Moussi ajoute que ces organisations sont connues pour leur ingérence dans les affaires des pays.