Sept partis politiques appellent à la libération de trois syndicalistes détenus depuis près d’un mois dans le cadre de l’agression du député Mohamed Affas.
Ils demandent l’ouverture d’une enquête sérieuse, responsable et impartiale sur cette affaire, soulignant leur attachement à l’indépendance de la justice qui ne devrait pas être instrumentalisée.
Dans un communiqué commun, les sept partis ont dénoncé la décision de suspendre les syndicalistes la qualifiant de “de décision politique prise sous une pression parlementaire”.
Le même communiqué évoque les tentatives de certains partis politiques de faire taire la centrale syndicale, ce qui est une menace à la liberté d’expression et à la liberté individuelle.
Pour rappel, le député Affas fait partie de la Coalition Al-Karama représenté au Parlement avec 19 députés.
Les partis progressistes avertissent contre des tentatives d’instaurer une nouvelle dictature.