En Tunisie, plus de 500 cas de fraude ont été enregistrés depuis le début des épreuves. En Algérie, les dirigeants ont eu recours à des procédures plus radicales à savoir le blocage des réseaux sociaux.
Cette décision a été prise pour éviter de refaire les mêmes erreurs qui se sont produites en 2016 où des examens ont été publiés sur les réseaux sociaux bien avant leur distribution.