Saber Ben Ammar, avocat à la cour de cassation et Président de l’association tunisienne d’aide aux victimes des accidents médicaux, a démenti la version officielle donnée par le ministère de la Santé sur la chaîne de Nessma Tv.
Il affirme que dans l’affaire des nourrissons décédés, en l’espace de 24h à l’hôpital de la Rabta, une interne peut témoigner que les sérums données aux enfants sont infectés.
Davantage de détails sur cette vidéo :