Le fils du fondateur de la centrale syndicale, Nouredine Hached, a déclaré que son père Farhat Hached n’a pas été tué par la Main Rouge. Cette histoire a été inventée de toute pièce par l’Etat français pour éviter tout soupçon.
Farhat Hached a été tué le 5 décembre 1952 sur la route de Radès mais son assassin a été planifié 6 mois à l’avance, un certain 15 mai 1952.
Antoine Pinay (ex-Président du conseil des ministres français), Léon Martinaud-Déplat (ancien député), René Pleven (ancien ministre de la Justice), Jean Brune (ancien ministre de la Défense) et Maurice Schumann (ancien ministre de l’Intérieur) ont planifié l’assassinat du leader syndicaliste, Farhat Hached.
Ces hauts dirigeants de l’Etat français ont fait appel à des agents des services secrets français pour assassiner Farhat Hached qui était devenu l’ennemi à abattre vu la menace qu’il présentait au colon français.
Nouredine Hached affirme qu’il n’y a pas de main rouge, il s’agit d’une fake news. Une information montée de toute pièce.
Le leader syndical a été tué aux alentours de 7h15 du matin. Ses assassins s’appellent Sylvain, Hilt et Boyer. Ils font partie des services secrets français.