
Le favori du second tour de l’élection présidentielle brésilienne devient officiellement le chef d’Etat face à son adversaire du parti travailliste, Fernando Haddad.
Cet ancien capitaine de l’armée prendra en janvier ses fonctions pour diriger un Brésil extrêmement polarisé à l’issue d’une campagne particulièrement tendue.
Fera-t-il tout ce qu’il a promis au début de sa campagne? Pas si sûr, car dans ses premiers mots de “président”, il a dit qu’il défendra la démocratie brésilienne. On rappelle que Bolsonaro avait déclaré, entre autres, que la place des socialistes brésiliens, s’il est élu, c’est la prison ou l’exil.
Donc la crainte à avoir, selon plusieurs spécialistes, c’est la liberté de la presse.
Attendons voir!




