
Selon le journal Assarih, les prévenus ont enregistrés plusieurs de leurs rencontres pour réaliser des films pornographiques qui sont téléchargés sur des sites payants.
Le propriétaire du domicile publie, aussi, des photos et des passages de vidéos sur son compte d’un réseau social pour inciter les femmes à participer à son plan, en contre partie d’une somme d’argent.




