
Le rapport final, qui a été rédigé par un jury populaire auquel avaient été soumises les conclusions de l’enquête, indique que « quasiment tous les cas » suspectés sont aujourd’hui frappés par la prescription et ne peuvent être poursuivis pénalement.
Seulement deux prêtres seront poursuivis pour agressions sexuelles dont les plus récentes remontent à 2010.
Le jury a décidé de rendre public les noms d’une dizaine d’hommes d’église accusés de pédophilie.
Certains enfants avaient moins de 10 ans lors de l’agression. Ces prêtres violaient les petits garçons et les petites filles durant des décennies. Les hommes d’église qui étaient leurs responsables n’ont rien fait pour arrêter les abus.




