Outre le déploiement de mesures sécuritaires, les autorités algériennes ont demandé cette année aux opérateurs publics et privés de télécommunications de couper totalement Internet pendant la première heure de chaque épreuve du baccalauréat.
L’utilisation des téléphones, tablettes a été interdite dans tous les centres d’examen, pour les candidats, et même pour les professeurs, surveillants ou membres du personnel administratif.
Les candidats sont également soumis aux détecteurs de métaux à l’entrée des centres. Des équipements de vidéosurveillance ainsi que des brouilleurs de télécommunications avaient également été installés dans les centres d’impression des sujets.
Pour rappel, la session 2016 du bac algérien avait été entachée par une grande fraude, les sujets ayant fuité sur les réseaux sociaux, avant ou au début des épreuves, ayant permis aux retardataires d’en profiter.