En allant se recueillir sur la tombe de son père, une citoyenne tunisienne a été surprise par des sacs en plastique jetés près de la tombe. Mais pas n’importe quels sacs, car ces derniers comportent des membres humains fraîchement découpés et dégageaient une odeur nauséabonde.
Ces photos prises par la concernée ne sont qu’un petit exemple face à la saleté et aux ordures qui s’accumulent au fil du temps dans le cimetière du Djellez.
Les autorités devraient prendre au sérieux la propreté de ces lieux. Ces sacs pourraient être l’origine d’une épidémie.
Les ministères de la Santé et de l’Intérieur et la municipalité de Tunis devraient se pencher sur ce sujet qui menace la santé des citoyens.