Tunisie : Quand Daimi et Ayari soutiennent une terroriste

Imed Daimi, connu pour ses liens suspicieux avec le Qatar qui finance l’Association caritative de son frère et monsieur 263 voix qui n’a pas eu froid aux yeux en diffusant la fausse rumeur du « Monsieur qui a dit non » veulent forcer la main aux autorités sécuritaires du pays pour qu’une terroriste allemande entre dans notre pays malgré le risques qu’elle représenterait pour la sécurité nationale.

La dame en question serait fichée par les services de renseignement allemands comme étant un élément très dangereux. C’est elle qui aurait enrôlé son mari tunisien dans la filière terroriste et elle est en relation avec des organisations terroristes en Irak à Mossoul et en Syrie.

Les autorités sécuritaires allemandes ont d’ailleurs expulsé son mari en Tunisie où il a été placé sous haute surveillance. Ce que les autres pays font pour protéger leur sécurité nationale nous est à nous contesté par les représentants du peuple censés préserver ses intérêts et par des avocats qui ont fait de la défense des terroriste leur gagne pain soutenus en cela par des médias qui ont vendu leurs âmes au Dieu argent !

«Balivernes a déclaré Leila Chettaoui, députée Al Horra et membre de la commission d’enquête. Nous parlons là de la sécurité de l’Etat, nous n’allons pas réinventer la roue. Tous les pays ont le droit de protéger leurs frontières contre les terroristes et la Tunisie ne va pas faire exception. D’ailleurs nous avons une loi qui nous autorise à refouler les personnes que nous estimons dangereuses de nos frontières. En France où la démocratie est installée depuis belle lurette, la loi antiterroriste a été révisée et on y a inclus un article qui stipule la même chose. Je ne vois pas pourquoi on nous critiquerait si nous usons du même droit d’autant plus qu’il s’agit de souveraineté et de sécurité nationale».

Elle est soutenue par Fatma Msseddi députée Nida qui a dénoncé publiquement toutes les tentatives d’intimidation visant nos services de sécurité par les défenseurs structurels des terroristes.

Refoulée une première fois par la police frontières, madame la terroriste signe et persiste, elle veut revenir !

Trop, c’est trop et le mutisme des organisations des droits de l’homme est de plus en plus choquant car il s’agit là de la sécurité de notre pays et de nos concitoyens. La Tunisie est-elle devenue le dépotoir de tous les terroristes de par le monde sous prétexte de liberté de pensée et de démocratie à deux sous ?

Et la HAICA, approuve-t-elle le fait que la chaîne radiophonique «AlQoran Al Karim» défende la terroriste allemande et fasse son apologie? Et de quel droit est-ce que des parties étrangères se mêlent de nos affaires intérieures en intervenant pour appuyer l’entrée de cette terroriste sur notre territoire ?

Le peuple tunisien doit sortir de cette longue apathie et réagir face aux crimes commis à son encontre par des activistes terroristes, des médias extrémistes et des députés islamistes.

A quand un grand mouvement de la société civile pour mettre fin à toutes ces trahisons ?

Et quand est-ce que le gouvernement tunisien et le ministère des Affaires étrangères prendront officiellement position pour mettre chaque partie à sa place y compris les chancelleries étrangères dont les ambassadeurs se prennent tous pour des résidents généraux ?

Amel Belhadj Ali