En espérant qu’il comprendra les injonctions en anglais, notre PM me surprend et m’étonne! Attaqué de toutes parts, il passe son temps à inaugurer des CLOCHEMERLES, alors que s’il changeait de stratégie et s’il osait, il n’aurait rien à perdre si ce n’est un poste qui n’est pas de tout repos si ce n’est qu’un salaire de smigard !
Savez-vous qu’en politique, qu’importe les partis, les campagnes et les tracts, l’essentiel ce sont les actes ? Alors agissez et décidez monsieur le PM. Décidez, qu’attendez-vous :
- pour envoyer ce syndicaliste belliciste qui envisage de fermer l’école à l’ombre ruminer ses tendances destructrices ?
- de refuser, vous et vos ministres, d’aller écouter des âneries d’une ARP vide et répondre à des questions insipides et surtout subir des insultes de députés aux 300 voix ?
- pour fermer cette IVD qui cherche à faire douter les gens même de l’authenticité de notre indépendance ?
- pour privatiser ces sociétés nationales déficitaires voire improductives qui ne font qu’assurer des revenus permanents à l’UGTT ?
- pour privatiser cette STAM qui bloque les ports pour le bon plaisir de syndicalistes à l’égo démesuré ?
- nettoyer ces écuries d’AUGIAS que sont devenues certaines structures d’Etat contaminées par les hommes du gourou et d’autres adeptes qui en ont fait des cavernes d’ALI BABA !
La liste est si longue que ce n’est plus un papier qu’il faudrait mais une encyclopédie pour en dresser la liste de ces maux qui nuisent à ce pays et dont les auteurs ont pignon sur rue que feraient que les prisons du pays risquent de déborder.
Savez-vous monsieur le PM si la religion d’un peuple et surtout l’ISLAM n’a pas, avec la puissance politique, de relation directe, absolue et forcée mais le gourou et sa clique veulent l’utiliser, cette maladie honteuse de l’humanité pour faire de la politique qui en est le cancer, et aboutir à la domination du pays pour défendre à son tour son intérêt propre et le représenter comme étant l’intérêt général ?
Alors Mr le PM, vous n’avez plus le choix, soit vous OSEZ tout en dosant votre action dans cette ambiance malsaine, où la République, née d’un mensonge politique, devient vérité de salut public dont beaucoup usent et abusent, soit vous vous résignez à céder votre place d’autant plus que le choix en politique n’est pas entre le bien et le mal, mais entre le préférable et le détestable.
N’oubliez surtout pas que, dans ce domaine ingrat, on succède à des imbéciles et on est remplacé par des incapables, donc si vous partez ou on vous fait partir, imaginez de quoi vous allez être traités, ce serait bien dommage et votre départ ferait plaisir à plus d’un. ALORS JE VOUS EN SUPPLIE OSEZ, VOUS N’AVEZ PLUS RIEN A PERDRE !
* to dare : oser !