Principales activités des partis politiques au cours de la semaine écoulée :
Parti Al-Badil
Suite à l’information relayée par les médias selon laquelle quatre listes du parti Al-Badil pour les prochaines élections municipales ont été invalidées, le parti a indiqué qu’il sera représenté dans 70 listes électorales : 34 listes de coalition sous la bannière de l’Union civile et 36 listes indépendantes.
Le parti avait organisé, samedi dernier, des journées ouvertes à Béja, en vue de renforcer ses activités dans la région. Ces journées étaient également l’occasion de répondre aux interrogations des partisans et ceux qui souhaitent y adhérer, indique le parti.
Mouvement Echaab
Les membres des différentes structures d’Echaab dans le Grand Tunis se sont réunis, samedi dernier, au siège central du parti, pour examiner le plan d’action du mouvement en prévision des prochaines échéances.
Mouvement Machrou Tounes
Le mouvement Machrou Tounes, représenté par Leila Zahaf et Lobna Driss, respectivement, membre du bureau politique et membre du conseil central, a participé récemment au sommet régional des partis politique de la région MENA, organisé par l’Institut national démocratique à Rabat (Maroc).
Mouvement Al-Irada
Le mouvement Al-Irada a organisé, le week-enk dernier, une journée de formation sur “la décentralisation, la gouvernance locale et les prérogatives des municipalités”, au profit des membres du parti figurant sur les listes municipales de Djerba, Gabès, Monastir, Kasserine, Médenine et Tataouine.
La journée s’est tenue en présence du président du parti, Mohamed Moncef Marzouki et du président de son comité politique, Adnane Mansar.
Mouvement Ennahdha
Le bureau de l’information et de la communication du mouvement Ennahdha s’est réuni avec les responsables régionaux de l’information, pour fixer les derniers préparatifs relatifs à l’opération de communication préalable aux élections locales.
Fusion entre deux partis politiques
Les fondateurs du parti “Voie de l’avenir et du développement durable” ont annoncé jeudi 1 mars 2018, une fusion avec l’Union populaire républicaine (UPR), “partant de la conviction de la nécessité de rassembler les forces centristes qui veulent réaliser les objectifs de la révolution”.