
Ces deux jeunes arrêtés ne sont pas connus des services de police et n’ont pas d’appartenance à un courant religieux extrémiste.
Suite à une décision de la justice, les deux individus sont placés en garde à vue, le 8 février 2018. Ils ont posté des messages et des photos sur leur compte du réseau social, Facebook, dans le but de semer le trouble et d’inciter les jeunes à brûler les postes de police et à agresser des politiciens et des journalistes.
Lors de leur interrogatoire, les jeunes ont affirmé suivre un courant extrémiste mais qui n’a rien à voir avec la religion. Ils ne reconnaissent pas l’Etat et ses lois ainsi que ses institutions, rapporte Shems Fm.




