
Il déclare que les agents des forces de l’ordre ne sont pas rentrés chez eux depuis le début des émeutes, soit durant près de 5 jours. Il dénonce le communiqué de la Ligue des Droits de l’Homme, qui a appelé les unités sécuritaires à ne pas faire usage d’autant de gaz lacrymogène oubliant le nombre des agents qui ont été blessés par les émeutiers.
Imed Belhaj Khelifa conclut en déclarant que la Tunisie est une terre qui est chère et que les politiciens peuvent trouver un accord s’ils se réunissent.
Il rappelle aussi à ces derniers que les policiers est aussi un citoyen tunisien qui sera affecté par ces récentes augmentations.
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