
La journaliste était comme une correspondante de la chaîne, elle a donné des faits détaillés sur les émeutes selon les régions.
Son reportage qui a été fait suite à une correspondance via Skype a même traité le sujet des militants de la campagne ‘Fech_Nestanew’, une campagne soutenu par le Front Populaire qui a appelé à manifester contre la loi des finances.
Plusieurs journalistes ont publié des messages sur leurs différents comptes des réseaux sociaux pour dénoncer cette collaboration avec le colon israélien.
A ce sujet le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) a ouvert une enquête concernant cette collaboration.
La journaliste se défend en publiant un message sur son compte Facebook pour donner des précisions sur ce qui s’est passé.
Elle affirme qu’elle a été contactée par une consoeur, en qui elle avait une totale confiance. Cette consoeur l’a mise en relation avec un journaliste palestinien qui s’est présentée comme tel et qui a affirmé travailler dans une chaîne turque d’informations.
Suite à l’insistance de ce Palestinien, Samia Bayouli, a accepté la collaboration et a demandé le lien du reportage. Suite à cela, elle a découvert qu’il s’agissait d’une chaîne israélienne.




