L’image de ce pseudo-gouverneur embrassant des fillettes en burka, comme il y en a désormais tant dans ce pays, est révélatrice des moeurs politiques qui prévalent en Tunisie.
Un Etat théoriquement civil, géré par des «commis» para-analphabètes, nommés après adoubement ou bénédiction, par un parti religieux avec la complicité d’un conglomérat d’intérêts privés, para-mafieux, organisés en un parti de gouvernement.
Cette association bancale, de la carpe et du lapin déploie sa malfaisance sous l’oeil, impassible et impuissant, d’un chef de gouvernement obnubilé par sa survie politique et par son maintien.
S’il y avait des hommes (pas des mâles), des «Rjels» dans ce pays, ce pseudo-gouverneur d’une région autrefois tunisienne, qui s’éloigne de nous, plus proche du Soudan et du Yémen, que de la Tunisie, où on sexualise les corps des fillettes, serait viré immédiatement.