
Certaines d’entre elles ont même été violées sur les planches d’un théâtre, d’autres ont préféré abandonner le premier rôle, lit-on dans le texte qu’elles ont signé et publié sur les tribunes du quotidien, Svenska Dagbladet.
En moins de vingt-quatre heures, elles avaient recueilli onze cents témoignages. Mais certains hommes, qui suivaient la discussion se sentant visés, se sont mis à contacter leurs victimes. Elles ont alors décidé de «rompre la culture du silence», en publiant une compilation d’une vingtaine de récits, qu’elles ont choisi de garder anonymes.



