Le ministère des affaires religieuses a indiqué que le manque enregistré dans les primes de certains cadres religieux exerçant dans les édifices religieux au cours du mois septembre 2017, en particulier ceux qui cumulent les tâches, s’explique par des difficultés techniques dues à la mise en application de la hausse du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG, régime de 40 heures par semaine), indique un communiqué publié vendredi par le ministère.
“En raison de ces difficultés, le SMIG a été maintenu sans la prise en considération du nombre des tâches occupées par certains cadres et ceci d’une manière temporaire jusqu’à la régularisation des différentes situations et le remboursement des différentes sommes manquantes”, précise le ministère.
Le département des affaires religieuses a renouvelé à cet égard son souci d’améliorer la situation de ses cadres religieux et de finaliser les mesures de sécurité sociale en leur faveur.