
Selon La gazette du Val-d’Oise, une panique générale s’est emparée des étudiants qui ont rapidement pris la fuite afin de sortir de la résidence.
Une trentaine de policiers étaient sur place, au campus, pour contrer cette attaque. Des policiers, lourdement armés, ont procédé à la sécurisation du bâtiment, avant de constater qu’il s’agissait d’un canular, peut-être dans le cadre d’un bizutage.
Selon le Code pénal, l’article 322-14 punit de deux ans d’emprisonnement et de 30.000 euros d’amende toute personne qui divulgue de fausses informations dans le but de faire croire qu’une destruction, une dégradation ou une détérioration dangereuse.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les étudiants qui sont à l’origine de cette mauvaise plaisanterie.




