
Quelle que soit la raison pour laquelle on voudrait voir cette enseignante quitter l’école, ou quel que soit ce dont on l’accuse, nul n’est autorisé à appliquer la loi seul, pour ne pas dire sa propre loi. Il y a différentes voies de recours possible, que ce soit en portant plainte au ministère ou devant la cours de justice, ou les deux l’une après avoir épuisé l’autre solution, et si ces accusations sont avérées, les décisions qui s’imposent doivent être prises.
La prise de décision est difficile car elle peut conditionner beaucoup de choses dans le futur. Aussi, la décision qui sera prise dans ce cas particulier, que ce soit en fermant les yeux et en laissant faire ou en apportant une solution précise conditionnera beaucoup de choses dans le futur.
Souvenez-vous de Kerkennah, de Kamour, de Kébili et de la manière dont les évènements se sont succédé et enchaînés.
Signé MBM




