
En effet, ces deux collègues symbolisaient la joie et l’entente dans une entreprise. Du coup, leur départ, forcément en bons termes, ne peut qu’affecter le reste de l’effectif, tant ils étaient gentils et s’entendaient avec tout le monde.
En sept ans, aucun d’entre nous ne s’est plaint d’Amine Khélil, toujours disponible, toujours serviable…

Mais même les bonnes choses ont une fin, alors nous leurs souhaitons bonne continuation à tous les deux. Pour Mohamed Amine Khélil, ce sera sans doute un au revoir. Et pour Martin, nous espérons qu’il fera désormais partie des étrangers ayant une bonne opinion de la Tunisie et des Tunisiens.




