
D’autres médias l’ont appelé ‘la révolte du bikini’, mais en réalité il s’agit d’une fausse information, ce qui n’a pas manqué d’amuser certains médias algériens sur le manque de professionnalisme de leurs confrères hexagonaux, tels que Marianne, 20 Minutes et bien d’autres. C’était donc fake, car le jour J aucun journaliste algérien ou étranger n’a pu constater le déroulement d’une «opération bikini».
Accusé d’avoir relayé de fausses informations, le journal Marianne se défend en assurant que leur correspondant en Algérie, Atmane Tazaghart, a discuté avec ces femmes qui souhaitent se baigner librement.





