Un sprint est attendu sur l’avenue des Champs-Elysées, dimanche, en conclusion de la 21e et dernière étape du Tour de France, au bout des 103 kilomètres partant de Montgeron, au sud-est de la capitale.
Symboliquement, le coup d’envoi est donné après le Réveil-Matin d’où le premier Tour de France est parti voici plus d’un siècle, en 1903. Le défilé festif habituel passe par la banlieue sud de Paris (Val-de-Marne, Essonne, Hauts-de-Seine) pour rejoindre la Porte d’Orléans après 34 kilomètres.
Avant d’entrer sur le circuit traditionnel de 6,5 kilomètres (place de la Concorde, Louvre, Champs-Elysées, Arc de Triomphe), à parcourir huit fois, la course traverse le monumental Grand Palais, sous l’immense verrière, en
clin d’oeil appuyé à la candidature de Paris aux JO-2024 qui prévoit un site de compétition dans ce site prestigieux.
L’arrivée est jugée au bout d’une ligne droite de 400 mètres, à hauteur du Petit Palais et à faible distance de l’Elysée.
Depuis 2005 et la victoire du Kazakh Alexandre Vinokourov, l’ultime étape s’est toujours terminée au sprint. Avec avantage au Britannique Mark Cavendish (quatre fois) et aux Allemands Marcel Kittel et André Greipel (deux fois).
De ces trois spécialistes, seul Greipel est encore présent dans le peloton des rescapés du Tour 2017.
Départ de Montgeron à 14h40 GMT (lancé à 14h50), arrivée à Paris Champs-Elysées vers 17h18 GMT (prévision à 42 km/h de moyenne).