
Cette décision, a-t-il insisté, s’inscrit dans le cadre de la stratégie du ministère des affaires culturelles visant à renforcer l’équité entre les régions en matière d’offre culturelle et à consacrer le principe de la culture de proximité, surtout, a-t-il avoué, qu’il existe un déséquilibre au niveau de l’octroi de subventions pour les festivals régionaux à vocation internationale.
Se poursuivant jusqu’au 26 juillet, l’édition 2017 est marquée par la participation de 17 pays arabes et étrangers : Tunisie, Liban, Syrie, Koweit, Sultanat d’Oman, Arabie Saoudite, Palestine, Egypte, Libye, Maroc, Algérie, Jordanie, Soudan, France, Espagne, Brésil et les Iles Maurice.
Pour les nouveautés de cette édition, figurent le lancement d’une chanson spécifique du festival d’après des paroles de Khalil Gouia et une composition de Mohamed El Oud. Cette édition sera marquée également par la publication d’un livre du festival “Tribunes du festival: l’art vers la rue” de Mohamed Ben Hammouda. La journée du 22 juillet sera marquée par l’organisation d’une manifestation intitulée “hadith Ethekrayet” à la mémoire du fondateur du festival feu Youssef Rekik.
“24heures arts” est l’intitulé d’une manifestation qui démarre le 22 juillet à 07h00 pour se poursuivre jusqu’au 23 juillet à la même heure. Il s’agit d’une ballade en mer vers le site archéologique Youngua et la plage Echaffar. Seront organisés un atelier de photographie, une soirée astrologique avec la participation du palais des sciences de Monastir. Le programme comporte également de la poésie populaire et un spectacle du ballet russe.
La clôture sera marquée notamment par la présentation des diverses œuvres réalisées dans le cade de cette édition ainsi que par une série d’hommages à entre autres Khalil Gouia, Sami Sahli, Mohamed Ben Ayed, l’algérien Mohamed Hadded, Ismael Refai de Syrie et le libanais disparu Wajih Nahla.




