L’avocat du journaliste Samir Elwafi, Chakib Darwich, a déclaré que le montant donné par la plaignante était une sorte d’empreint que son client avait l’intention de rendre progressivement.
En réponse à cela, la plaignante a imposé des conditions pour une réconciliation à l’amiable avec le journaliste.
En premier lieu, la plaignante souhaite que Samir Elwafi avoue avoir pris de l’argent en contrepartie de son intervention auprès d’un responsable pour lui faciliter l’obtention d’une autorisation de vente d’alcool.
En second lieu, elle souhaite avoir l’intégralité de son argent, à savoir 800 mille dinars, rapporte Assarih en ligne.