L’ancien président provisoire de la République, Moncef Marzouki, serait dans la ligne de mire de l’Etat algérien. Il aurait été récemment classé sur la liste noire des “personnalités suspectes et complices du terrorisme”, à en croire le journal Al Chorouk.
Les raisons évoquées selon la même source seraient que Marzouki a toujours mené une campagne de “dénigrement” contre l’Algérie et ce à chaque fois qu’il se trouve à l’étranger et en particulier dans les pays du Golfe.
L’autre raison serait que l’ancien président entretiendrait des liens avec des parties terroristes et des chefs de guerre en Libye, principalement avec Abdelhakim Belhaj.
Selon la même source, lors d’une rencontre entre les anciens chefs de gouvernement Mehdi Jomaa et Abdelmalek Sellal, ce dernier a expliqué à Jomaa que l’ex-président de la République n’était pas sérieux dans sa lutte contre le terrorisme, ce qui a contraint l’Algérie à se mobiliser seule pour protéger ses frontières. C’est à ce moment là que l’Etat souverain obtient des preuves confirmant l’implication de Marzouki dans des affaires de terrorisme.