
Selon un communiqué du ministère de l’intérieur (MI) publié mercredi, les interpellés étaient en possession de billets d’avion, de passeports, d’un ordinateur, des publications faisant l’apologie du courant “takfiriste” ainsi que d’une somme d’argent.
Le parquet a ordonné le placement des interpellés en garde à vue pour suspicion d’appartenance à une organisation terroriste.




