L’UPR tient à exprimer son soutien aux revendications des jeunes pharmaciens.
L’UPR considère que l’application du « numerus clausus » a permis de préserver l’activité officinale en Tunisie. Toutefois, nous assistons depuis environ deux décennies, à une dérive qui fait parfois de l’inscription sur les listes d’attente, un investissement à moyen terme.
En effet, des pharmaciens exerçant pleinement et occupant des postes dans l’administration ou dans le secteur privé, s’inscrivent dans les listes occasionnant ainsi une concurrence déloyale et injustifiée aux jeunes diplômés en quête d’une première installation.
L’UPR appelle l’autorité de tutelle et le Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens à réviser les conditions d’inscription sur les listes d’attente, à interdire aux pharmaciens retraités le cumul scandaleux d’une retraite et d’une nouvelle installation. Tout doit être fait pour aider les jeunes pharmaciens à s’installer dans la vie professionnelle et les protéger des spéculateurs.
Source: UPR